Bukavu/Café jeune KJN : Les candidats devant ses électeurs à Bagira

 Dans le cadre de son programme de sensibilisation et d'éducation civique pour un processus électoral apaisé en RDC, l'association Karibu Jeunesse Nouvelle KJN en sigle vient d'organiser un café jeune ce samedi 23 septembre 2023 dans la commune de Bagira, ville de Bukavu.

Une activité de routine de KJN asbl sur le processus électoral en RDC et au sud-kivu en particulier.

Et ce,permettre aux potentiels candidats d'exprimer clairement leur vision ou leur projet de société à la population.

Devant ses électeurs, Adolphe Bandeke, candidat député national dans la ville de Bukavu vient d'être d'étaler ses projets de société.

Une discussion et débat viennent d'avoir lieu.

Bandeke candidat député national circonscrit son programme dans le développement à la base.

Les participants saluent cet exercice estimé louable.

Pour eux, KJN a fait un bon choix de la thématique car en échangeant avec les les candidats ça éclair beaucoup plus le profil d'un bon candidat.

Pour Valentin Buroko, habitant de Bagira,une bonne initiative en cette période électorale.

" Merci à KJN, à ce moment des élections, mettre la population en face de ses électeurs, est un bon exercice démocratique, que KJN puisse étendre cette activité dans la commune d'ibanda et kadutu" ajouté t-il.

De son côté, William Yayote, artiste musicien,voilà un bon exercice démocratique pour découvrir les vrais candidat du peuple, surtout les jeunes viennent de comprendre le sens de choisir un candidat utile.

Signalons que le samedi prochain une autre activité de ce genre sera tenue toujours à Bagira par KJN.

Rédaction 

Sud-Kivu : KJN vient de commémorer de la Journée Internationale de la Paix avec la Coalition Jeunesse, Paix et Sécurité pour interpeller le maintien de la sécurité à l'Est de la RD du Congo.

 

Une caravane de paix et une conférence viennent d'être tenues à Bukavu ce mercredi 21 Septembre 2023 par l'association sans but lucratif Karibu Jeunesse Nouvelle.

Et ce, à l'occasion de la journée internationale de la paix.

Une caravane dès la place de la paix de Bukavu jusqu'à la place Munzihirwa .

Sous le message la paix doit régner à l'Est de la RDC.

Et dans la conférence tenue dans la salle de l'institut français,ex alliance Franco Congolaise, Madame Jolly Kamuntu, a fait savoir qu'on parle du développement sans la paix.

Le thème de l’année 2023 est : « Action en faveur de la paix : nos ambitions pour les objectifs mondiaux ». 

L’année 2023 marque la mi-parcours de la mise en œuvre des objectifs de développement durable, ODD.Au Sud-Kivu, la Coalition Jeunesse, Paix et Sécurité au sein de la Société civile a organisé une matinée de réflexion en vue de rappeler et revendiquer à la communauté internationale et aux autorités nationales le droit des Congolais en général, et des habitants de l’Est du pays en particulier, à la paix face aux exactions et atrocités commises par la rébellion du M 23 soutenu par le Rwanda et à tous les autres groupes armés nationaux et étrangers.

Sous la modération de Joly Kamuntu de l’asbl Karibu Jeunesse Nouvelle, KJN, (membre de la Coalition Jeunesse, Paix et Sécurité), des centaines de jeunes du Sud-Kivu se sont réunis dans la salle de spectacles de l’Institut Français de Bukavu en vue de méditer et tabler sur leurs droits à la paix, notamment.L’orateur principal a été Adrien Zawadi, Président du Bureau de Coordination de la Société civile du Sud-Kivu.

 Le rôle de la jeunesse dans la lutte contre les inégalités a été au centre de son intervention. D’autres interventions ont suivi. C’est le cas de la perturbation climatique en tant frein au développement durable. Le thème a été abordé par Neema Bashombe Nelly, responsable de l’antenne provinciale du Fond Forestier National : ou de l’état de lieu des droits de l’homme 75 ans après la Déclaration Universelle des Droits de l’homme abordé par Raphaël Wakenge de l’ong ICJP.Un mot sur la coalition JPS en RDC a inauguré la série d’exposés. 

Il a été prononcé par Joseph Akilimali.La journée du 21 Septembre 2023 marque également le 75 ième anniversaire de la Déclaration Universelle des droits de l’Homme, DUDH, et de la Convention pour la prévention et la réparation du crime de génocide. 

En RDC, il y peu le gouvernement national a institué la journée du Genocost, marquant la commémoration des massacres ayant conduit au génocide congolais qui n’est pas encore reconnu par la communauté internationale alors que des chiffres approximatifs témoignent de plus de 8 millions de morts.En guise de rappel, la commémoration de la journée du 21 Septembre à Bukavu intervient alors que se tient à New-York l’Assemblée générale des Nations-Unies. 

Le Secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres, a déclaré : « la paix est nécessaire aujourd’hui plus que jamais. La guerre et les conflits provoquent la dévastation, la pauvreté et la faim et chassent des dizaines de millions de pays de leur foyer. 

Le chaos climatique est omniprésent. Et même els pays pacifiques sont en proie à des inégalités criantes et à une polarisation politique ».Mauvaise note, cependant, alors que se tient la 78 ième Assemblée générale des Nations-Unies : les membres permanents du Conseil de sécurité sont, presque tous, quasi-absents hormis Joe Biden, Président des Etats-Unis.

Rédaction 

Idjwi : Le faible accès des femmes et filles à l'information comme blocage à leur participation politique et au processus électoral à I

 

Une tribu d'expression populaire organisée avec l'appui des affaires mondiales Canada via le centre carter. 

L'activité qui a regroupé une centaine de gens est l'oeuvre du Consortium AFEM, KJN. SOS IJM ET FPM dans le cadre du projet VLF ( Voix et leadership des femmes) . Elle s'est tenue  dans le village Bulundi en ce mois de septembre. 

Après un bref exposé sur l'État de lieu de l'accès des femmes à l'information dans cette partie du territoire d'idjwi, les habitants ont échange sur les causes du faible acces à l'information. Ils ont épinglé les coutumes et traditions qui jadis accordaient aux seuls hommes le droit à l'information, des lourds travaux ménagers et autres charges qui prennent tout le temps aux femmes et l'analphabétisme. 

Cette situation maintien les femmes dans une ignorance totale de leurs droits et de tout ce qui se fait dans leur communauté. Les autorités locales présentes à cette tribune d'expression populaire se sont engagés à associer les femmes aux réunions et activités communautaires pour leur  permettre d'accéder à des informations officielles. 

La société civile quant elle promet d'intensifier la sensibilisation sur l'usage correctes des médias sociaux et de la radio comme. Sources d'informations et encourage les femmes à réclamer leur droit à. L'information. 

Les partis politiques quant à eux décident de déployer des mobilisateurs dans les communautés pour que l'information parvienne aux femmes surtout en cette période électorale.

Rédaction.

Bukavu : le consortium KJN, SPR, WEC-CONGO et LDF vient de tenir une séance de présentation, vulgarisation et plaidoyer pour la protection et la prévention des violences basées sur le genre à l égard des femmes et des jeunes filles en période électorale

 

Une activité tenue à Bukavu le lundi 18 septembre 2023 .

 Et c'est pour la présentation,la vulgarisation et plaidoyer pour la protection, la prévention des violences basées sur le genre à l égard des femmes et des jeunes filles en période électorale dans la province du Sud-Kivu. 

A l issue de cette activité les résultats de l'étude sur l analyse des violences subies par les femmes et filles pendant l'enrôlement des électeurs dans les trois commune de la ville de Bukavu ont été présentées.

 Il est ressorti que la participation de la femme candidates est évaluée à 18% . Les femmes et les jeunes filles ont été victimes de monnayage  lors d enrôlement, les personnes vivant avec handicap, les femmes allaitantes, les albinos etc ont été moins priorisées aux centres d enrôlement.

Les participants (les autorités étatiques, les les OSC, la CENI et médias)se sont engagés à vulgariser cette étude, lutter contre les violences basées sur le genre VBGs pendant le processus électoral en particulier lors de vote à venir.

Mais également dénoncer tout cas de violences basées sur le genre à l égard des femmes et jeunes filles en période électorale et promouvoir la cohésion sociale.

Sous la modernisation de la Présidente de l'organisation Karibu Jeunesse Nouvelle KJN en sigle, Jolly Kamuntu a fait savoir que cette activité s'inscrit dans le cadre du projet : "campagne d'éducation civique pour la participation des femmes et jeunes filles et la lutte contre les violences basées sur le genre  en période électorale ", mener en consortium KJN, SPR, WEC-CONGO et LDF avec l'appui  de l'ONG Belge 11.11.11 .

Les services étatiques saluent les acquis , les résultats de ce projet  et l'engagement de KJN pour le relèvement communautaire.

Et de poursuivre qu'ensemble avec d'autres organisations veulent souvenir ce consortium pour cette initiative d'un ouf de soulagement pour la bonne gouvernance à une échelle locale.

Rédaction 

Bukavu : Rôle et utilisation des médias sociaux par les jeunes de CIRIRI pendant le processus électoral

Un cadre d'échange que l'organisation Karibu Jeunesse Nouvelle, KJN en sigle vient de réaliser ce jeudi 14 septembre 2023 dans le quartier Ciriri,en commune de Bagira dans la ville de Bukavu.

Il s'agissait  d'une activité dénommée "Forum des Jeunes" sous le thème  : "Rôle et utilisation des médias sociaux par les jeunes dans le quartier CIRIRI pendant le processus électoral."

Cette activité, au delà de l'autorité communale, a réunie une cinquantaine de jeunes du quartier Ciriri, parmi lesquels, les membres des structures installés dans le cadre du projet, les membres de la Société civile et du Comité local de développement, ainsi que des leaders communautaires du quartier CIRIRI.

Le tableau de cette utilisation ayant été peinte, les participants ont donné les avantages et les inconvénients de l'utilisation des medias sociaux dans leur quartier et ont formulé des recommandations et des engagements.

 Après, un comité a été mis en place pour le suivi de l'application de ces engagements et recommandations pour l'usage responsable des medias sociaux afin d'aboutir à des élections apaisées.

Pour finir, le partenaire technique, SFCG a briefé les participants sur le module en rapport avec l'utilisation des médias sociaux, avant d'accorder des mots de circonstance successivement au bailleur, au partenaire technique et clôturer par celui de l'autorité communale.

Cette activité a été réalisée grâce à l'appui financier de l'Agence Suédoise pour le Développement International, SIDA en sigle et l'appui technique de Search For Common Grpund, SFCG dans le cadre de mise en oeuvre du projet :  "Le pouvoir de l'espace civique : Solution pour la démocratie et la paix à l'Est de la RDC", exécuté au Sud-Kivu par le Consortium: KJN, ADMR et CCF.

Rédaction 

VLF Sud-Kivu/Consortium AFEM-KJN-FPM-SOS Sensibilisation et mobilisation contre les violences domestiques à Bulundi avec l'appui des Affaires Mondiales Canada via le centre Carter

Le samedi 2 septembre, le village de Bulundi à Idjwi a été le théâtre d'une tribune d'expression populaire sur la thématique des violences domestiques. Cette activité a été réalisée dans le cadre du projet "Voix et Leadership des Femmes", financé par les Affaires Mondiales Canada et exécuté par le Centre Carter en partenariat avec le consortium AFEM-KJN-FPM-SOS. L'objectif de cette tribune était de sensibiliser la population sur les conséquences des violences domestiques et de mobiliser les autorités et les leaders locaux à agir pour les prévenir et les combattre.

Elle a réuni plusieurs acteurs clés, tels que la cheffe de village, les chefs des sous-villages, la police locale, les organisations de la société civile (OSC) locales, les représentants du bureau de coordination de la société civile et de la NDSCI, ainsi que des femmes, des jeunes et des hommes du village. La diversité des participants a favorisé un dialogue approfondi sur les causes, les conséquences et les pistes de solutions pour lutter contre les violences domestiques.

Au cours de cette tribune, des témoignages personnels et des expériences vécues dans les familles ont été partagés. Tulia Baderha, l'une des participantes, a témoigné de l'impact positif du projet sur sa vie et celle des femmes de la communauté. Elle a déclaré : "Ce projet nous a ouvert les yeux, nous, les femmes. Aujourd'hui, nous connaissons nos droits et sommes en mesure de les revendiquer et de les défendre. Nous voulons que chacun puisse jouer son rôle pour que nous ne revenions pas à la situation avant le projet, où les femmes étaient violemment battues, insultées et trouvaient cela normal, sans demander de l'aide."

Vers une pérennisation des acquis du projet

Alors que le projet touche progressivement à sa fin, cette activité a permis aux participants de réfléchir aux mesures qui seront mises en place pour pérenniser les acquis obtenus au cours des deux dernières années de lutte contre les violences domestiques subies par les femmes et les jeunes filles. Il est crucial que les progrès réalisés ne soient pas simplement temporaires, mais qu'ils s'inscrivent dans la durée.

En encourageant la participation active des femmes dans les instances décisionnelles locales, il est possible de promouvoir une culture de respect et d'égalité, favorisant ainsi la prévention des violences domestiques.

Engagement des autorités et des leaders locaux

Cette tribune a également permis de renforcer l'engagement des autorités et des leaders locaux dans la lutte contre les violences domestiques. En prenant part aux discussions et aux échanges, ils ont pu comprendre l'importance de leur rôle dans la prévention et la lutte contre ces violences. Leur implication active est essentielle pour garantir la mise en place des mesures concrètes visant à protéger les femmes et les jeunes filles de la violence domestique.

Pour rappel, cette activité rentre dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de plaidoyer pour la participation des femmes aux postes de responsabilité dans la gouvernance locale à Idjwi/Bulundi.

Rédaction